
Rapidement des sentiments commencent à se développer. Mais les relations sont compliquées et certaines personnes sont prêtes à tout pour empêcher deux filles bengalis d’être heureuses pour toujours.
Editeur : Page Street Kids
Date de sortie : Mai 2021
Genre : YA, contemporain
Nombre de pages : 352
Radar à diversité : pp bengali, musulmane et bi, pp bengali et lesbienne
TW : racisme, biphobie
L’avis de @planetediversite : Hani et Ishu ont deux personnalités différentes mais se retrouvent toutes les deux dans une situation plus gênante et vont devoir prétendre sortir ensemble. Hani est quelqu’un de très solaire qui aime faire plaisir aux autres (parfois un peu trop) et populaire (cela dit je trouvais qu’au final c’était très peu montré ce côté là) tandis qu’Ishu est une élève sérieux, studieuse et pas très douée avec les interactions sociales. Les voix des deux personnages étaient donc très distincts et à la lecture on a aucun mal à distinguer qui est qui (utile pour moi qui confond très rapidement les personnages en général).
Hani et Ishu ont une vraie évolution, d’abord personnelle mais aussi dans leur relation qui se change petit à petit en quelque chose de romantique. J’ai beaucoup aimé la façon dont chacune apporte à l’autre quelque chose d’essentiel. Hani apporte un côté plus doux à Ishu et Ishu lui apprend à ne pas se laisser marcher sur les pieds. On est pas vraiment dans du enemies-du-lovers, en vérité Hani et Ishu se connaissent à peine, elles sont juste camarades de classe, on est plus du coup dans i-barely-know-you-but-let’s-fake-date-to-lovers.
Lorsque Hani fait son coming-out bisexuel ses amies ne la soutiennent pas (et on a le droit à tout un bon vieux tas de clichés) mais par contre j’ai adoré qu’elle ait le soutien indéfectible de ses parents. C’était vraiment sympa à lire. D’ailleurs l’autrice nous offre un panel de relations parentales différentes. Elle nous montre que les parents ne sont ni bons, ni mauvais, qu’ils font des erreurs et que parfois en voulant faire bien, ils causent beaucoup de mal.
En plus de la romance et des discussions autour de la queerness, l’autrice nous parle aussi du racisme, des amitiés toxiques, de la pression académique et des attentes familiales.
Un de mes points négatifs tournerait autour d’un événement qui se passe avec Ishu qui est accusée à tort de quelque chose et j’ai été déçue de la réaction de ses proches que ce soit ses parents ou Hani. C’était vraiment frustrant et pas très logique au final. Pour moi ça a un peu cassé leur relation et la suite de leur histoire m’a moins touché.
Hani et Ishu ont une vraie évolution, d’abord personnelle mais aussi dans leur relation qui se change petit à petit en quelque chose de romantique. J’ai beaucoup aimé la façon dont chacune apporte à l’autre quelque chose d’essentiel. Hani apporte un côté plus doux à Ishu et Ishu lui apprend à ne pas se laisser marcher sur les pieds. On est pas vraiment dans du enemies-du-lovers, en vérité Hani et Ishu se connaissent à peine, elles sont juste camarades de classe, on est plus du coup dans i-barely-know-you-but-let’s-fake-date-to-lovers.
Lorsque Hani fait son coming-out bisexuel ses amies ne la soutiennent pas (et on a le droit à tout un bon vieux tas de clichés) mais par contre j’ai adoré qu’elle ait le soutien indéfectible de ses parents. C’était vraiment sympa à lire. D’ailleurs l’autrice nous offre un panel de relations parentales différentes. Elle nous montre que les parents ne sont ni bons, ni mauvais, qu’ils font des erreurs et que parfois en voulant faire bien, ils causent beaucoup de mal.
En plus de la romance et des discussions autour de la queerness, l’autrice nous parle aussi du racisme, des amitiés toxiques, de la pression académique et des attentes familiales.
Un de mes points négatifs tournerait autour d’un événement qui se passe avec Ishu qui est accusée à tort de quelque chose et j’ai été déçue de la réaction de ses proches que ce soit ses parents ou Hani. C’était vraiment frustrant et pas très logique au final. Pour moi ça a un peu cassé leur relation et la suite de leur histoire m’a moins touché.
“Sometimes I think that maybe I like guys more as a concept than a reality.”
8/10
Tropes : fake dating, grumpy x sunshine
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