
Mais lorsqu’une nouvelle étudiante nommée Kalinda arrive, la chance de Caroline commence à tourner. Kalinda, une fille solennelle de la Barbade avec un sourire spécial pour tout le monde, devient la première et la seule amie de Caroline – et la personne pour qui Caroline a commencé à développer un crush.
Maintenant, Caroline doit trouver la force d’affronter ses sentiments pour Kalinda, braver l’esprit qui la traque à travers les îles et faire face à la raison pour laquelle sa mère l’a abandonnée. Ensemble, Caroline et Kalinda doivent partir dans un ouragan pour retrouver la mère disparue de Caroline – avant que Caroline ne la perde pour toujours.
Editeur : Scholastic
Date de sortie : Mars 2018
Genre : Jeunesse, contemporain
Nombre de pages : 214
Radar à diversité : pp afro-caribéenne et lesbienne
TW : harcèlement, racisme, homophobie
L’avis de @planetediversite : Si 2021 a été une année décevante pour moi au niveau des romans YA, les romans jeunesse au contraire n’ont cessé de me surprendre par leur honnêteté, leur complexité et Hurricane Child en est un bon exemple.
Caroline a douze ans et elle est née alors qu’un ouragan frappait son île ce qui est signe de malchance. Et de la malchance on peut dire qu’elle en a pas mal. Entre sa mère qui a quitté le domicile familial, une noyade dont elle a réchappé de peu et son école où tout le monde la déteste, la petite Caroline n’a pas vraiment de quoi se réjouir. Jusqu’à ce que Kalinda arrive. Elle est sa première vraie amie, une fille confiante, drôle, mystérieux dont elle va aussi tomber amoureuse.
L’ambiance du livre est très prenante, très riche et on s’attache très vite à Caroline. Cette petite fille solitaire, indépendante et aussi têtue qui cherche les réponses à toutes ses questions. Comme je le disais c’est un roman qui aborde beaucoup de choses et contrairement aux romans jeunesse que je lis d’habitude j’ai eu l’impression que celui-ci parlait aux enfants presque comme s’ils étaient des adultes. C’est peut-être le point un peu négatif du livre. Je vois mal des enfants de 10-12 ans lire ce livre et le comprendre complètement. Je ne suis même pas sûre d’avoir compris tout ce que l’auteur insinuait, voulait dire. On y parle d’attirance sexuelle et du poids de la religion, de colorisme, de micro-agressions, de santé mentale etc. et ce sont des sujets dont il faut parler avec les plus jeunes mais je n’ai pas complètement adhéré au style d’écriture. Pour moi le livre partait un peu dans tous les sens et j’ai eu du mal à comprendre l’intrigue principale.
Caroline a douze ans et elle est née alors qu’un ouragan frappait son île ce qui est signe de malchance. Et de la malchance on peut dire qu’elle en a pas mal. Entre sa mère qui a quitté le domicile familial, une noyade dont elle a réchappé de peu et son école où tout le monde la déteste, la petite Caroline n’a pas vraiment de quoi se réjouir. Jusqu’à ce que Kalinda arrive. Elle est sa première vraie amie, une fille confiante, drôle, mystérieux dont elle va aussi tomber amoureuse.
L’ambiance du livre est très prenante, très riche et on s’attache très vite à Caroline. Cette petite fille solitaire, indépendante et aussi têtue qui cherche les réponses à toutes ses questions. Comme je le disais c’est un roman qui aborde beaucoup de choses et contrairement aux romans jeunesse que je lis d’habitude j’ai eu l’impression que celui-ci parlait aux enfants presque comme s’ils étaient des adultes. C’est peut-être le point un peu négatif du livre. Je vois mal des enfants de 10-12 ans lire ce livre et le comprendre complètement. Je ne suis même pas sûre d’avoir compris tout ce que l’auteur insinuait, voulait dire. On y parle d’attirance sexuelle et du poids de la religion, de colorisme, de micro-agressions, de santé mentale etc. et ce sont des sujets dont il faut parler avec les plus jeunes mais je n’ai pas complètement adhéré au style d’écriture. Pour moi le livre partait un peu dans tous les sens et j’ai eu du mal à comprendre l’intrigue principale.
« The idea of not being alone — of having someone who sees me, same way I see the things that no one else can see, makes me feel like I’m real. Like I deserve to exist on this planet alongside everyone else. That I get to be here because there’s someone else who wants me here too. »
Je suis quand même contente d’avoir lu Hurricane Child qui reste un livre très lyrique, très beau qui nous montre que les enfants ressentent autant, peut-être même plus de choses que les adultes.
7/10
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