
Concordia, peut-on se fier aux apparences ?
Editeur : L’école des loisirs
Date de sortie : Octobre 2020
Genre : Jeunesse/Ado, post-apo
Nombre de pages : 416
Radar à diversité : pp indienne, ps saphique et Noire
L’avis de @planetediversite : Comme souvent avec les romans d’Ariel Holzl ce sont les univers qui sont le plus marquants et c’est aussi le cas pour Bpocalyspe. Ici huit ans se sont écoulés depuis l’apocalypse qui a détruit une bonne partie du monde et fait muter les animaux. La ville de Concordia est protégée par un mur qui bloque tout contact avec l’extérieur. Et c’est dans cette ville que nous suivons Samsara, une adolescente qui fréquente avec ses amis le lycée de la ville et qui veut intégrer la milice pour protéger les habitants. Samsara est une héroïne que j’ai beaucoup aimé, elle ne quitte jamais sa batte de baseball, sait se défendre mais ne fait pas toujours les bons choix. Elle est très impulsive et réfléchie après avoir fait une boulette. Heureusement il y a Yvette, sa meilleure amie et l’intello de la bande. J’avoue que j’aurais aimé voir un peu plus les personnages secondaires notamment Yvette.
Lorsque la quarantaine est levée on découvre aussi des arachlings et là le roman nous parle de ce qui fait l’humanité et de ce qui fait de nous des monstres, de la peur de ce qui est différent.
Le récit est vivant et on ne s’ennuie jamais pendant la lecture. L’auteur joue avec les codes du post-apo et j’ai adoré découvrir tous les petits secrets que renfermait Concordia. Entre les CD qui servent de moyen de paiement, les fantômes qui jouent les électriciens il y a toujours quelque chose de nouveau.
J’ai un peu été déçue de la fin que j’ai trouvé très expéditive et de certains twists qui tombaient un peu dans la facilité mais c’est un roman qui, je suis sûre, plaira beaucoup aux plus jeunes avec cette ambiance mi-cauchemardesque mi-drôle !
Lorsque la quarantaine est levée on découvre aussi des arachlings et là le roman nous parle de ce qui fait l’humanité et de ce qui fait de nous des monstres, de la peur de ce qui est différent.
Le récit est vivant et on ne s’ennuie jamais pendant la lecture. L’auteur joue avec les codes du post-apo et j’ai adoré découvrir tous les petits secrets que renfermait Concordia. Entre les CD qui servent de moyen de paiement, les fantômes qui jouent les électriciens il y a toujours quelque chose de nouveau.
J’ai un peu été déçue de la fin que j’ai trouvé très expéditive et de certains twists qui tombaient un peu dans la facilité mais c’est un roman qui, je suis sûre, plaira beaucoup aux plus jeunes avec cette ambiance mi-cauchemardesque mi-drôle !
7/10