
Editeur : Amulet Books
Date de sortie : Août 2020
Genre : YA, fantasy
Nombre de pages : 368
Radar à diversité : cast de personnages Noirs + #ownvoices, ps ace et biromantique
L’avis de @planetediversite : Je suis trop contente de vous parler de mon livre préféré de 2021 (à ce jour en tout cas) !
Raybearer c’est l’histoire de Tarisai, une enfant qui a été élevé seule dans une grande maison avec des tuteurs qui n’osaient pas la toucher et qui ne pense qu’à une chose : avoir l’affection de sa mère, une femme distante qu’on appelle The Lady. Un jour Tarisai va être arrachée à cette maison et emmener à la capitale où elle va être en compétition avec des centaines d’autres enfants pour rejoindre le Conseil du prince héritier. Car The Lady a un plan en tête bien précis : Tarisai doit devenir l’un de ses membres et tuer le prince, Dayo. Si elle est choisie, elle va devoir dédier sa vie au Conseil et au prince. Sa loyauté envers Dayo va être tester à de nombreuses reprises.
Je dois avouer que j’avais un peu peur qu’on tombe une nouvelle fois dans le trope de la fille qui doit tuer un garçon mais qui en tombe amoureuse mais en vérité on en est assez loin. C’est une amitié très forte et très touchante qui va lier Tarisai et Dayo et ça a été un des aspects que j’ai préféré dans ce roman. L’amitié à une place primordiale dans le roman. Le Ray qui lie le prince aux membres du Conseil est une magie qui repose beaucoup sur le consentement des deux parties. Dayo ne peut pas forcer quelqu’un à se lier à lui. Chaque membre du Conseil dispose d’un pouvoir et j’ai trouvé cette partie du roman riche et très bien construite. Tous les personnages sont complexes, bien développés et je me suis beaucoup attachée à cette famille. J’aurais d’ailleurs aimé qu’on en apprenne plus sur les autres membres du Conseil car on se concentre surtout sur quatre personnages centraux : Tarisai, Dayo, Kirah, la meilleure amie de Tarisai, et Sanjeet, un personnage que j’ai aussi beaucoup aimé.
L’autrice a incorporé tellement de thèmes différents dans son roman. Elle y aborde l’impérialisme, l’invisibilisation des femmes dans l’Histoire, l’invisibilisation des cultures colonisées. Inspirée du folklore de l’Afrique de l’Ouest ce roman de fantasy est riche de mythologie, d’Histoire.
Raybearer c’est surtout l’histoire d’une fille qui ne veut pas du destin commandé par sa mère, ni celui choisi par les autres. J’espère vraiment vous avoir donné envie de découvrir cette pépite !
Raybearer c’est l’histoire de Tarisai, une enfant qui a été élevé seule dans une grande maison avec des tuteurs qui n’osaient pas la toucher et qui ne pense qu’à une chose : avoir l’affection de sa mère, une femme distante qu’on appelle The Lady. Un jour Tarisai va être arrachée à cette maison et emmener à la capitale où elle va être en compétition avec des centaines d’autres enfants pour rejoindre le Conseil du prince héritier. Car The Lady a un plan en tête bien précis : Tarisai doit devenir l’un de ses membres et tuer le prince, Dayo. Si elle est choisie, elle va devoir dédier sa vie au Conseil et au prince. Sa loyauté envers Dayo va être tester à de nombreuses reprises.
Je dois avouer que j’avais un peu peur qu’on tombe une nouvelle fois dans le trope de la fille qui doit tuer un garçon mais qui en tombe amoureuse mais en vérité on en est assez loin. C’est une amitié très forte et très touchante qui va lier Tarisai et Dayo et ça a été un des aspects que j’ai préféré dans ce roman. L’amitié à une place primordiale dans le roman. Le Ray qui lie le prince aux membres du Conseil est une magie qui repose beaucoup sur le consentement des deux parties. Dayo ne peut pas forcer quelqu’un à se lier à lui. Chaque membre du Conseil dispose d’un pouvoir et j’ai trouvé cette partie du roman riche et très bien construite. Tous les personnages sont complexes, bien développés et je me suis beaucoup attachée à cette famille. J’aurais d’ailleurs aimé qu’on en apprenne plus sur les autres membres du Conseil car on se concentre surtout sur quatre personnages centraux : Tarisai, Dayo, Kirah, la meilleure amie de Tarisai, et Sanjeet, un personnage que j’ai aussi beaucoup aimé.
L’autrice a incorporé tellement de thèmes différents dans son roman. Elle y aborde l’impérialisme, l’invisibilisation des femmes dans l’Histoire, l’invisibilisation des cultures colonisées. Inspirée du folklore de l’Afrique de l’Ouest ce roman de fantasy est riche de mythologie, d’Histoire.
Raybearer c’est surtout l’histoire d’une fille qui ne veut pas du destin commandé par sa mère, ni celui choisi par les autres. J’espère vraiment vous avoir donné envie de découvrir cette pépite !
“You caged me like a bird. But you cannot make me sing.”
10/10
Niveau d’anglais : ★★★☆☆
Tropes : found family, platonic soulmates
Oooh j’ai hâte de le lire celui-là !
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[…] Sur Planète Diversité, deux chroniques qui sont venues enrichir ma wishlist : One Last Stop de Casey McQuiston et Raybearer de Jordan Ifueko. […]
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[…] CHRONIQUE […]
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