
Editeur : Milan
Date de sortie : Juillet 2020
Genre : Jeunesse, contemporain
Nombre de pages : 307
Radar à diversité : pp sourde, ps sourd
L’avis de @planetediversite : L’histoire met en parallèle, Iris, une adolescente sourde et Blue 55, une baleine qui ne chante pas sur la même fréquence que les autres baleines et donc n’arrive pas à se faire comprendre (je me suis un peu renseignée et cette baleine existe vraiment sous le nom de 52 hertz). Cette baleine est surnommée « la baleine la plus seule au monde » et Iris s’identifie beaucoup à elle. Dans son école il n’y a que des entendants et elle a un peu l’impression d’être isolée. Elle va alors embarquer sa grand-mère, sourde aussi, pour essayer de rejoindre Blue 55 et communiquer avec elle.
Iris est une petite fille très intelligente, ingénieuse et ça a été un vrai plaisir de la suivre dans toute cette histoire. Elle aime réparer des radios et tout les explications sur les vibrations et les fréquences m’ont fasciné. Il est en plus rare de voir une fille aimer les sciences dans un roman… Iris est aussi très bien entourée notamment avec sa famille malgré les divergences d’opinions sont certains sujets. On y parle aussi du deuil d’une très belle façon, la relation entre Iris et son grand-père était très touchante.
L’autrice met aussi la culture sourde en avant. Elle y parle de poésie sourde, langue des signes, de grandir dans une famille d’entendants. Et chaque expérience de chaque personne sourde dans le roman est différente. Si l’histoire n’est pas #ownvoices, l’autrice a eu recours à des sensitivity readers. À la fin du livre on en apprend encore plus sur la culture sourde, sur le côté scientifique du roman, sur Blue 55 et c’était aussi très intéressant !
Iris est une petite fille très intelligente, ingénieuse et ça a été un vrai plaisir de la suivre dans toute cette histoire. Elle aime réparer des radios et tout les explications sur les vibrations et les fréquences m’ont fasciné. Il est en plus rare de voir une fille aimer les sciences dans un roman… Iris est aussi très bien entourée notamment avec sa famille malgré les divergences d’opinions sont certains sujets. On y parle aussi du deuil d’une très belle façon, la relation entre Iris et son grand-père était très touchante.
L’autrice met aussi la culture sourde en avant. Elle y parle de poésie sourde, langue des signes, de grandir dans une famille d’entendants. Et chaque expérience de chaque personne sourde dans le roman est différente. Si l’histoire n’est pas #ownvoices, l’autrice a eu recours à des sensitivity readers. À la fin du livre on en apprend encore plus sur la culture sourde, sur le côté scientifique du roman, sur Blue 55 et c’était aussi très intéressant !
Ballade pour une baleine est un roman très touchant sur la solitude, le besoin de partager des expériences similaires et je sais que l’histoire d’Iris et le chant de Blue 55 résonneront encore longtemps en moi.
9/10
Chroniques ownvoices
[…] chronique de Planète Diversité du roman Ballade pour une baleine de Lynne Kelly m’a séduite et j’espère découvrir ce livre prochainement. Sur Comics have the power, c’est […]
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J’ai aussi beaucoup aimé ma lecture. S’il y avait plus de romans jeunesses de ce genre, je pense que je m’y intéresserai un peu plus. C’était une belle lecture, enrichissante et je la conseille vivement !
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Dans mes romans jeunesse favoris il y a aussi Les étincelles invisibles et Coeur gros comme une étoile si ça t’intéresse !
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[…] CHRONIQUE […]
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