
Quand elle commence à être assaillie de cauchemars et d’hallucinations, la jeune femme se lance sur les traces de la vérité. Une quête qui la plongera dans le passé de sa famille, dans un Portugal déchiré par la dictature de Salazar…
Trois époques.
Trois femmes.
Trois destins.
Une volonté : être libre.
Editeur : Scrineo
Date de sortie : Avril 2020
Genre : YA, historique
Nombre de pages : 352
Radar à diversité : pp lesbien, ps gay
L’avis de @planetediversite : Un roman avec une héroïne lesbienne franco-portugaise qui parle de la dictature de Salazar ? Evidemment qu’il me le fallait. J’ai grandi en entendant beaucoup d’histoires sur cette dictature que mes grands-parents ont fuit alors j’attendais beaucoup de ce livre.
On suit donc trois femmes appartenant à la même famille. Luzia qui des années plus tôt a perdu sa soeur mais comme elles se détestaient ça ne l’a pas beaucoup touché. Cette soeur on la suit grâce à son journal intime. Puis il y a leur tante Evora morte elle aussi. C’est donc surtout l’histoire de Luzia et de son enquête pour comprendre ce qui est arrivé aux femmes de sa famille. Elle va donc partir pour le Portugal avec son meilleur ami atteint du VIH.
Alors malheureusement je dois dire qu’aucun des personnages n’a vraiment retenu mon attention. On reste très en surface et quelques semaines après ma lecture je me souviens à peine d’eux. L’histoire du médaillon et tout ça m’a semblé un peu tiré par les cheveux et je ne m’attendais pas à quelque chose de « magique » dans cette histoire.
En plus de ça le titre Les oeillets d’Antigone m’a fait pensé qu’on se concentrerait sur la Révolution des Oeillets (le renversement de la dictature) et en fait pas du tout. On suit quelques résistants mais pas plus que ça. Dommage.
Aussi déçue que l’autrice se soit sentie obligée de parler des « poils portugais ». Je sais pas ça m’a gêné, c’est un simple cliché. On a pas des poils différents merci bien.
Je n’ai pas retrouvé le Portugal que je connais à travers les descriptions et tout ça et c’est peut-être ce que j’attendais le plus. On reste sur des simples mots balancés ici et là (toujours les mêmes) « fado », « pasteis de nata » mais on pourrait se trouver au fin fond de la Creuse ça n’y changerait rien. Ca ne dérangera sûrement pas certain.es mais je sais pas moi ça m’a un peu déçu.
Malgré tout ça, le roman se lit très vite, on veut toujours en savoir plus et j’ai quand même passé un agréable moment. Pas marquant mais agréable.
On suit donc trois femmes appartenant à la même famille. Luzia qui des années plus tôt a perdu sa soeur mais comme elles se détestaient ça ne l’a pas beaucoup touché. Cette soeur on la suit grâce à son journal intime. Puis il y a leur tante Evora morte elle aussi. C’est donc surtout l’histoire de Luzia et de son enquête pour comprendre ce qui est arrivé aux femmes de sa famille. Elle va donc partir pour le Portugal avec son meilleur ami atteint du VIH.
Alors malheureusement je dois dire qu’aucun des personnages n’a vraiment retenu mon attention. On reste très en surface et quelques semaines après ma lecture je me souviens à peine d’eux. L’histoire du médaillon et tout ça m’a semblé un peu tiré par les cheveux et je ne m’attendais pas à quelque chose de « magique » dans cette histoire.
En plus de ça le titre Les oeillets d’Antigone m’a fait pensé qu’on se concentrerait sur la Révolution des Oeillets (le renversement de la dictature) et en fait pas du tout. On suit quelques résistants mais pas plus que ça. Dommage.
Aussi déçue que l’autrice se soit sentie obligée de parler des « poils portugais ». Je sais pas ça m’a gêné, c’est un simple cliché. On a pas des poils différents merci bien.
Je n’ai pas retrouvé le Portugal que je connais à travers les descriptions et tout ça et c’est peut-être ce que j’attendais le plus. On reste sur des simples mots balancés ici et là (toujours les mêmes) « fado », « pasteis de nata » mais on pourrait se trouver au fin fond de la Creuse ça n’y changerait rien. Ca ne dérangera sûrement pas certain.es mais je sais pas moi ça m’a un peu déçu.
Malgré tout ça, le roman se lit très vite, on veut toujours en savoir plus et j’ai quand même passé un agréable moment. Pas marquant mais agréable.
6/10
[…] CHRONIQUE […]
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