
Editeur : Robert Laffont
Date de sortie : 2018
Genre : YA, dystopie
Nombre de pages : 469
Radar à diversité : pp noire + #ownvoices, ps lesbien
L’avis de Mistikrak! : Ugh. J’ai vraiment eu du mal à terminer ce roman, mais j’aurais tellement voulu l’aimer !! L’histoire m’a plu : un univers dystopique, la quête de la beauté, des êtres gris obsédés par leurs apparences… J’aurais aimé que le propos soit porté un peu plus loin car l’intrigue autour de la princesse qu’il faut (ou pas) aider de manière illicite m’a laissé de glace. Des femmes qui détiennent un pouvoir convoité dans un monde où les races telles qu’on les connaît n’existent pas (les Belles peuvent former de A à Z le physique d’une personne, ce dernier suit d’ailleurs les modes : les longs cous aujourd’hui, les cheveux roux demain, la peau ivoire ou ébène le mois suivant…), c’est vachement intéressant comme prémisse !
La page couverture m’a accroché dès le départ: une femme, noire, au teint foncé, aux cheveux crépus si soigneusement coiffés et ornés d’une fleur, les teintes de rouge sur sa robe blanche… au fond, je m’étais peut-être fabriqué moi-même toute une histoire, ce qui a inconsciemment construit des attentes assez élevées dans mon esprit. Je n’ai pas lu l’histoire que je voulais lire et ça m’a agacé. Je relirai sans doute ce roman à un autre moment de ma vie, en tâchant de garder l’esprit plus ouvert la prochaine fois, histoire d’éviter les déceptions !
Cela dit, les critiques pour ce roman sont excellentes et j’ai appris avec bonheur que l’autrice a fondé CAKE Literary, une entreprise dédiée à la défense de la diversité en littérature.