
Editeur : ActuSF
Date de sortie : 8 novembre 2019
Genre : Nouvelle, fantastique, historique
Nombre de pages : 240
Radar à diversité : femmes lesbiennes/bies, pp chinoise, ps trans
L’avis de @planetediversite : Ça faisait déjà un moment que cette nouvelle me faisait de l’oeil, alors quand j’ai vu qu’ActuSF allait la traduire, je n’ai pas pu résister bien longtemps.
Passing Strange suit trois personnages principaux à San Francisco dans les années 40. On y découvre la façon de vivre des femmes queer de l’époque avec leur bar, les contrôles de police…
Helen est une immigrée chinoise qui danse dans un restaurant parce que le racisme de l’époque ne lui laisse pas d’autre alternative.
Haskel est une artiste qui dessine des couvertures de livres érotiques. Elle signe ses oeuvres sous un nom masculin.
Emily est la nouvelle arrivante en ville, elle a été viré de l’école où elle enseignait pour avoir coucher avec une de ses collègues.
D’autres personnages donnent vie à son roman, notamment celle qui amène le côté « magie » à l’histoire. Mais ça je vous laisserais le découvrir.
J’ai beaucoup aimé les personnages et j’ai surtout aimé en apprendre plus sur San Francisco dans les années 40. J’ai été choqué, par exemple, d’apprendre qu’à l’époque il y avait un loi qui oblige les femmes à porter 5 vêtements féminins. En tout cas, l’atmosphère est vive et on se sent complètement immergé dans cette ville qui devient un personnage à part entier.
Il n’y a pas vraiment d’intrigue à proprement parlé, on parle plutôt de la vie quotidienne de femmes queer. On a des personnages qui viennent de plusieurs milieux sociaux, qui sont dans divers domaine s’activités (artistes, scientifiques, avocates…).
L’autrice, en plus de parler d’homophobie, aborde aussi la transphobie ou encore le racisme. J’ai trouvé ces passages très bien fait. J’ai beaucoup aimé les passages dans le bar Mona’s qui est le bar lesbien de la ville. On a une grande diversité de personnages et je sais pas, ça fait du bien de lire à propos de ça à cette période. Tout en sachant que l’autrice a vécu à San Francisco dans les années 40 et qu’elle parle donc de ce qu’elle connait.
(Si j’ai déjà poussé un coup de gueule par rapport à la couverture sur Twitter, je tiens aussi à rajouter qu’une interview de l’autrice est présente à la fin du livre (réalisée par ActuSF) et que je l’ai trouvé assez mauvaise. Voilà. C’est à se demander si les personnes ont lu le livre. Enfin bref.)
Helen est une immigrée chinoise qui danse dans un restaurant parce que le racisme de l’époque ne lui laisse pas d’autre alternative.
Haskel est une artiste qui dessine des couvertures de livres érotiques. Elle signe ses oeuvres sous un nom masculin.
Emily est la nouvelle arrivante en ville, elle a été viré de l’école où elle enseignait pour avoir coucher avec une de ses collègues.
D’autres personnages donnent vie à son roman, notamment celle qui amène le côté « magie » à l’histoire. Mais ça je vous laisserais le découvrir.
J’ai beaucoup aimé les personnages et j’ai surtout aimé en apprendre plus sur San Francisco dans les années 40. J’ai été choqué, par exemple, d’apprendre qu’à l’époque il y avait un loi qui oblige les femmes à porter 5 vêtements féminins. En tout cas, l’atmosphère est vive et on se sent complètement immergé dans cette ville qui devient un personnage à part entier.
Il n’y a pas vraiment d’intrigue à proprement parlé, on parle plutôt de la vie quotidienne de femmes queer. On a des personnages qui viennent de plusieurs milieux sociaux, qui sont dans divers domaine s’activités (artistes, scientifiques, avocates…).
L’autrice, en plus de parler d’homophobie, aborde aussi la transphobie ou encore le racisme. J’ai trouvé ces passages très bien fait. J’ai beaucoup aimé les passages dans le bar Mona’s qui est le bar lesbien de la ville. On a une grande diversité de personnages et je sais pas, ça fait du bien de lire à propos de ça à cette période. Tout en sachant que l’autrice a vécu à San Francisco dans les années 40 et qu’elle parle donc de ce qu’elle connait.
(Si j’ai déjà poussé un coup de gueule par rapport à la couverture sur Twitter, je tiens aussi à rajouter qu’une interview de l’autrice est présente à la fin du livre (réalisée par ActuSF) et que je l’ai trouvé assez mauvaise. Voilà. C’est à se demander si les personnes ont lu le livre. Enfin bref.)
Pour finir, Passing Strange est un très beau roman et presque un hommage à San Francisco et à toutes les femmes queer avec une fresque de personnages attachants qu’on n’a plus envie de quitter. Je vous le conseille à 100 % !
8/10
[…] Titre : Passing Strange d’Ellen Klages […]
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