
Editeur : Gallimard Jeunesse
Date de sortie : 18 avril 2019
Genre : Historique, jeunesse
Nombre de pages : 240
Radar à diversité : pp gay/bi
L’avis de @planetediversite : Ce roman nous plonge dans la Grèce Antique et plus particulièrement dans une période assez sombre : la guerre entre Athènes et Spartes. On suit l’histoire à travers les yeux d’Héraclios, un jeune athénien qui rentre de la guerre pour retrouver une ville presque fantôme.
Je dois avouer que la toile de fond est plutôt bien plantée. Malgré ma fine connaissance sur cette période, j’ai reconnu quelques faits historiques, quelques personnages qui ont vraiment existé comme par exemple Socrate ou Platon.
On comprend que l’autrice veut nous montrer la fragilité du régime démocratique qui fait parfois écho avec ce qu’on peut vivre aujourd’hui.
Malheureusement au-delà du côté « Histoire » du roman, on ne peut pas dire que j’ai vraiment accroché.
Pour dire la vérité, j’ai trouvé ce roman très noir pour le public visé. On y parle de famine dans sa vérité la plus crue, de prostitution (notamment de mineur.e.s), la mort. J’avais l’impression de ne pas vraiment savoir pour qui ce roman était fait surtout lorsque j’ai compris que le protagoniste principal a 22 ans au début du roman.
On parcourt 7 années en moins de 300 pages et j’avais m’y être perdu plus d’une fois. Je ne me suis attachée à aucun des personnages.
La sexualité du personnage principal est discutée de façon assez naturelle pour un roman historique (certainement grâce à l’époque choisie) et j’ai plutôt apprécié ces discussions là.
Je dois avouer que la toile de fond est plutôt bien plantée. Malgré ma fine connaissance sur cette période, j’ai reconnu quelques faits historiques, quelques personnages qui ont vraiment existé comme par exemple Socrate ou Platon.
On comprend que l’autrice veut nous montrer la fragilité du régime démocratique qui fait parfois écho avec ce qu’on peut vivre aujourd’hui.
Malheureusement au-delà du côté « Histoire » du roman, on ne peut pas dire que j’ai vraiment accroché.
Pour dire la vérité, j’ai trouvé ce roman très noir pour le public visé. On y parle de famine dans sa vérité la plus crue, de prostitution (notamment de mineur.e.s), la mort. J’avais l’impression de ne pas vraiment savoir pour qui ce roman était fait surtout lorsque j’ai compris que le protagoniste principal a 22 ans au début du roman.
On parcourt 7 années en moins de 300 pages et j’avais m’y être perdu plus d’une fois. Je ne me suis attachée à aucun des personnages.
La sexualité du personnage principal est discutée de façon assez naturelle pour un roman historique (certainement grâce à l’époque choisie) et j’ai plutôt apprécié ces discussions là.
Les Révoltés d’Athènes est un roman que je vois bien avoir sa place dans les écoles mais certainement pas dans ma bibliothèque. Ni les personnages, ni le sujet de fond ne m’a vraiment happé et j’en suis la première désolée. J’espère que, peut-être, ce roman sera fait pour vous.
4/10