
Editeur : NIL
Date de sortie : 22 août 2019
Genre : Contemporain, adulte
Nombre de pages : 324
Radar à diversité : femmes lesbiennes et bies
L’avis de @planetediversite : Le nom de ce roman vous dira peut-être quelque chose puisque l’autrice a participé au podcast PRIMO qui suivait de A & Z l’écriture et la publication de son histoire.
Bon alors, je vais commencer par dire que j’ai détesté ce roman. Voilà, les bases sont posées et tout est clair. Alors, j’avoue que j’ai bien aimé l’écriture de l’autrice qui a une certaine facilité pour faire passer ce qu’elle veut faire passer. Après cette histoire n’était clairement pas pour moi.
Un roman de la rentrée littéraire (bon) sur des lesbiennes (OUI) à Paris (non). Je savais dès le départ que je n’arriverais pas à m’identifier aux personnages. La vie d’une lesbienne à Paris n’est pas tout à fait la même que celle d’une lesbienne en province et comme prévu ça n’a pas fonctionné avec moi.
Pour vous résumer l’histoire, on suit Léonie, une meuf qui se fout de tout dans la vie (et du coup bah en tant que lecteur on se fiche pas mal de ce qui lui arrive aussi oups), elle travaille au McDo par facilité et fait un peu de baby-sitting. Jusqu’au jour où elle se retrouve avec la garde non-officielle de la petite fille dont elle s’occupe. Sauf que voilà Léonie n’a qu’une idée en tête : partir dans le sud pour rejoindre son ex qu’elle a quitté il y a dix ans. Entre temps, la police se mêle de l’histoire et nous voilà donc parti pour une sorte de road trip/course poursuite.
Malgré un rythme entraînant et une bonne écriture comme je disais, les personnes ne m’ont pas du tout intéresser. Les trois personnages principaux sont toutes écrites de la même façon et se ressemblent toutes : elles se fichent un peu de tout et surtout elles ne pensent qu’à faire l’amour. Vraiment je ne pensais pas qu’on pouvait avoir autant de scènes de cul en 300 pages. Aucune ne sert à quelque chose et encore une fois, tout se ressemble.
Au final, je n’ai trouvé d’intérêt ni à l’histoire, ni aux personnages. J’en suis même venue à détester Léonie que j’avais juste envie de gifler à la fin (et au début aussi).
Un roman de la rentrée littéraire (bon) sur des lesbiennes (OUI) à Paris (non). Je savais dès le départ que je n’arriverais pas à m’identifier aux personnages. La vie d’une lesbienne à Paris n’est pas tout à fait la même que celle d’une lesbienne en province et comme prévu ça n’a pas fonctionné avec moi.
Pour vous résumer l’histoire, on suit Léonie, une meuf qui se fout de tout dans la vie (et du coup bah en tant que lecteur on se fiche pas mal de ce qui lui arrive aussi oups), elle travaille au McDo par facilité et fait un peu de baby-sitting. Jusqu’au jour où elle se retrouve avec la garde non-officielle de la petite fille dont elle s’occupe. Sauf que voilà Léonie n’a qu’une idée en tête : partir dans le sud pour rejoindre son ex qu’elle a quitté il y a dix ans. Entre temps, la police se mêle de l’histoire et nous voilà donc parti pour une sorte de road trip/course poursuite.
Malgré un rythme entraînant et une bonne écriture comme je disais, les personnes ne m’ont pas du tout intéresser. Les trois personnages principaux sont toutes écrites de la même façon et se ressemblent toutes : elles se fichent un peu de tout et surtout elles ne pensent qu’à faire l’amour. Vraiment je ne pensais pas qu’on pouvait avoir autant de scènes de cul en 300 pages. Aucune ne sert à quelque chose et encore une fois, tout se ressemble.
Au final, je n’ai trouvé d’intérêt ni à l’histoire, ni aux personnages. J’en suis même venue à détester Léonie que j’avais juste envie de gifler à la fin (et au début aussi).
Bon vous aurez compris que j’ai perdu mon temps avec ce roman. J’espère quand même qu’il trouvera son public et si vous voulez le tenter, n’hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé parce que ça m’intéresse !
1/10