
Editeur : Tor Teen
Date de sortie : 22 janvier 2019
Genre : YA, fantasy
Nombre de pages : 352
Radar à diversité : pp bisexuelle, li racisée, ps muet
L’avis de @planetediversite : En fouillant sur le blog, je me suis rendue compte que je n’avais jamais fait de chronique de ce livre alors que je l’ai lu en début d’année et que j’avais presque eu un coup de coeur sur cette histoire ! Je me rattrape donc et j’espère avoir une assez bonne mémoire pour vous donner un avis construit. C’est parti !
Isoka est soit un personnage qu’on adore, soit qu’on déteste. C’est une anti-héroïne qui n’hésite pas à tuer quand c’est nécessaire et elle a peu de pitié pour les gens qu’elle laisse derrière elle. Sa seule véritable faiblesse, c’est sa petite soeur, qu’elle essaye de garder éloigner des mauvais quartiers où elle vit.
Isoka est dotée de capacités magiques offertes par les dieux et a la faculté de sortir deux lames tranchantes de ses avants-bras grâce à elles, elle peut tout décimer sur son passage.
Lorsque les autorités de l’Empire le découvre, elle est envoyer en mission suicide sur un bateau aussi immense que plusieurs villes qui vole des gens et dont personne ne revient jamais.
Sur le bateau, Isoka va se créer des alliances, des amitiés et même tomber amoureuse de Meroe qui est tout ce qu’elle admire. Meroe est un personnage que j’ai beaucoup apprécié et elle vole parfois la vedette à Isoka. Leur relation est vraiment un vent de fraîcheur dans ce roman plein de brume, de monstres et d’obscurité. Il y a aussi plusieurs couples secondaires F/F et M/M tout au long de l’histoire.
J’ai beaucoup aimé le world-building su Solition et je l’ai trouvé très intriguant. Il y a des parties qui n’ont jamais été visité, il a son propre éco-système et des créatures étrangères y vivent.
J’ai trouvé parfois que le roman jouait avec la limite du YA, il y a des thèmes très adultes, très violents et on est presque dans de la fantasy adulte par moment (même si on retrouve pas mal de tropes YA aussi).
Je voulais aussi pointé du doigt que le roman est écrit par un homme et que, de mon expérience, j’ai toujours été mal à l’aise avec les auteurs qui écrivent des femmes adolescentes souvent sexualisées et irréalistes. Ici, ce n’est pas du tout le cas et Django Wexler nous prouve que c’est possible d’écrire un personnage féminin correctement.
Isoka est dotée de capacités magiques offertes par les dieux et a la faculté de sortir deux lames tranchantes de ses avants-bras grâce à elles, elle peut tout décimer sur son passage.
Lorsque les autorités de l’Empire le découvre, elle est envoyer en mission suicide sur un bateau aussi immense que plusieurs villes qui vole des gens et dont personne ne revient jamais.
Sur le bateau, Isoka va se créer des alliances, des amitiés et même tomber amoureuse de Meroe qui est tout ce qu’elle admire. Meroe est un personnage que j’ai beaucoup apprécié et elle vole parfois la vedette à Isoka. Leur relation est vraiment un vent de fraîcheur dans ce roman plein de brume, de monstres et d’obscurité. Il y a aussi plusieurs couples secondaires F/F et M/M tout au long de l’histoire.
J’ai beaucoup aimé le world-building su Solition et je l’ai trouvé très intriguant. Il y a des parties qui n’ont jamais été visité, il a son propre éco-système et des créatures étrangères y vivent.
J’ai trouvé parfois que le roman jouait avec la limite du YA, il y a des thèmes très adultes, très violents et on est presque dans de la fantasy adulte par moment (même si on retrouve pas mal de tropes YA aussi).
Je voulais aussi pointé du doigt que le roman est écrit par un homme et que, de mon expérience, j’ai toujours été mal à l’aise avec les auteurs qui écrivent des femmes adolescentes souvent sexualisées et irréalistes. Ici, ce n’est pas du tout le cas et Django Wexler nous prouve que c’est possible d’écrire un personnage féminin correctement.
Comme je le disais plus haut, c’est un roman que j’ai lu il y a plusieurs mois alors je m’excuse pour cette chronique un peu rapide. Je ne peux que vous conseiller de découvrir Ship of Smoke and Steel par vous même si vous cherchez une anti-héroïne qui n’a peur de rien et un monde au world-building intéressant.
8,5/10
[…] de @planetediversite : City of Stone and Silence est la suite directe de Ship of Smoke and Steel et reprend les événements là où on les avait laissé. On retrouve donc Isoka et tout […]
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